miércoles, 31 de marzo de 2010

...si hay algo que se necesita en esta lucha es poder dar mucho AMOR.

NOTA

A consecuencia de la circulación de mails enviados por la Sra Maria Isabel Rego por medio de la red social de facebook, en cuyo contenido difama, injuria y miente, cuando dice: Apropiarse del nombres de las Madres,mail ,trabajo, proyectos...eso es lo más BAJO que puede llegar una persona,Le recomendamos que en vez de usar el dolor ajeno, se ocupe de hacerse ver porque esta enferma ..Quiere tener PODER o SER RECONOCIDA...” Es de destacar que la Red de Madres por la Vida, en lucha contra el “paco” sigue trabajando como siempre, tanto en los reclamos de Políticas públicas, como en el acompañamiento de madres y familiares que así lo requieren. En cuanto al blog y la página de facebook siguen siendo administrados por mí desde el momento de su creación. Por lo tanto no se entiende semejante acusación maliciosa.

Quizás ella debería dar una explicación de su conducta, porque su virulencia surge al momento que se le dice que no puede usar la Red de Madres por la Vida, para armar una fundación que se propuso en el Grupo Avellaneda, dado que la misma es un Colectivo en donde confluyen distintas organizaciones sociales de diferentes procedencias, también madres y familiares que no pertenecen a ninguna organización pero adhieren a la Red. La Causa que promueve nuestra Red, es la exigencia a los Gobiernos sobre la Salud Pública para las víctimas de las adicciones, no es transformarnos en una Comunidad Terapéutica más. Por lo tanto nos preguntamos, que la impulsa? a tratar de pretender romper con las Rondas en Plaza de Mayo y también en La Matanza? Acaso está cumplimiento el mandato de alguien que tiene especial interés que se aborte la lucha?

En cuanto a las acusaciones de que se hace política. Si, hacemos política social, por supuesto no nos quedamos llorando el dolor, la lucha implica el reclamo pero también hacer. La gravedad que significa el acceso fácil a las drogas y la cantidad de jóvenes afectados por el consumo nos obliga a ser creativos en la búsqueda de soluciones, para recuperar los vínculos familiares y sociales.

Simplemente espero que logre tranquilidad en su espíritu, porque si hay algo que se necesita en esta lucha es poder dar mucho AMOR.

Saludos cordiales,

Berta Núñez

martes, 30 de marzo de 2010

Les nouvelles mères de la place de Mai


Les nouvelles mères de la place de Mai

Blog Solidaridad Latina |

20/03/2010

Plus de 100 000 Argentins sont dépendants du paco, une drogue à base de résidus de cocaïne. Une association de mères de famille tente de sortir les jeunes de ce cauchemar.

Nous les avons rencontrées pour la première fois en plein coeur de Buenos Aires. Elles ne sont qu'une poignée, chaque jeudi, à défiler devant le palais présidentiel, et pourtant elles se sont vite fait remarquer. Les Madres contra el paco (mères contre le paco) succèdent, sur la place de Mai, aux fameuses “mères et grand-mères de disparus” de la dictature.

Elles portent un foulard noir, en signe de deuil pour les jeunes tués par le paco, cette drogue élaborée à partir des restes du processus de production de la cocaïne, et souvent associée à des matières dangereuses comme du kerosen ou de l'acide sulfurique. Chaque jeudi, jeunes mamans et vieilles femmes se relaient pour faire le voyage depuis leur banlieue lointaine et venir crier leur colère devant le siège du pouvoir.

"Cette drogue est une peste”

Elles appellent à l'aide, tout simplement, un gouvernement qui fait le sourd. “Nous demandons une politique publique pour les victimes du paco, une prise en charge immédiate, des soins psychologiques, des formations pour leur réinsertion dans la société”, énumère Berta, la cinquantaine dynamique.

Marta Inès Rugolo, psychologue en charge de la santé mentale à l'hôpital Carlos Durand de Buenos Aires, nous explique qu'en Argentine, il n'existe pas dans les hôpitaux de service habilité à soigner les personnes dépendantes.

La thérapeute déplore d'autant plus cette absence de politique publique en matière d'addiction qu'elle reçoit chaque jour plus de victimes indirectes du paco: "Cette drogue est une peste, elle touche les enfants de plus en plus petits, dès l'âge de 8 ans, elle fait tomber des familles entières dans un cycle de violence et de destruction."

L'indifférence des autorités

Pour mieux comprendre ce que vivent les Madres contra el paco, nous avons rendu visite à certaines d'entre elles à la Matanza, une banlieue pauvre et insalubre de la capitale. En nous guidant vers sa maison, Estella Maris, 40 ans, nous recommande de prendre garde aux morceaux de verre et aux pierres coupantes qui jonchent le chemin de terre, parsemé d'herbes folles que broutent quelques chevaux.

Elle nous montre un cimetière de voitures désossées par les jeunes: "Ils revendent toutes les pièces pour se payer leurs doses. La police voit ça, c'est en plein milieu de la rue, mais personne ne réagit."

A chaque croisement, avant même que le jour s'efface, vendeurs et consommateurs de paco échangent la marchandise sous le regard impuissant de tous les voisins. Mais Estella, Norma, Cristina et Maria, entre autres madres, ont choisi de ne pas baisser les yeux ni changer de trottoir. Elles ont toutes vécu la même chose. Un père absent, en prison ou violent, un fils à la dérive qui cherche son identité et un jour, bascule dans le cycle infernal du paco.

Des vols à répétition

Norma Moreno, 43 ans, 8 enfants, toute petite femme au ton affirmé, se souvient que son fils a commencé à fumer de la marijuana à l'âge de 12 ans. Il a très vite dérivé vers la cocaïne, puis le paco. Comme la plupart des mamans, Norma s'est rendue compte de l'addiction de son fils à cause de ses vols. D'abord le téléphone portable du petit-frère, puis les bijoux des parents...

"Je ne savais plus quoi faire, je travaillais toute la journée, je ne pouvais pas le surveiller. J'ai dû le mettre à la rue plusieurs fois parce qu'il vendait toute la maison", raconte Norma. Mère célibataire, elle se souvient de son désarroi quand elle entendait son fils "hurler, la nuit, quand le paco lui faisait faire des cauchemars".

Maria Guiyerba, dont le fils de 20 ans se drogue depuis 3 ans, la coupe: "Toi aussi? Et les convulsions parce qu'il ne dort plus, il en a fait, aussi?". Cette jeune femme aux yeux humides n'a rejoint le groupe que depuis 2 semaines. Comme les autres, c'est avant tout un soutien qu'elle est venue chercher. Elle raconte l'incompréhension des proches, le mépris de la police, et même de l'hôpital local qui rejette leurs gosses à la rue sitôt l'urgence passée et pour qui "quand il y en a un qui meure, c'est toujours un de moins ".

Lueurs d'espoir

Estella, le visage entouré de mèches décolorées, fume cigarette sur cigarette en les écoutant. Lorsqu'elle raconte l'histoire de son fils Esteban, aujourd’hui en cure, les visages s'éclairent. Grâce aux Madres contra el paco, qui sont arrivées en force au centre public de prise en charge des personnes dépendantes pour le faire admettre, il est aujourd’hui soigné, voit un psychologue et un psychiatre.

La grande peur d'Estella: le retour à la Matanza, où, elle le sait, son fils aura du mal à trouver un emploi et à fuir le paco. Pour l'heure, il représente un exemple que la jeune femme cite aux jeunes qu'elle rencontre dans la rue.

Les mères ne dénoncent pas les petits vendeurs, "qui sont les fils de nos voisines", ne jugent pas, elles aident les gamins du quartier à prendre conscience de leur dépendance et à faire appel à elles.

"L'autre jour, un jeune garçon est venu à la réunion", se félicite Estella. En allant chercher sa fille à l'école, Norma accoste un jeune homme qui achète sa dose: "Tu m'as menti l'autre jour, tu m'as dit que c'était fini!". Il grommelle "promis, la semaine prochaine, j'arrête". Norma n'insiste pas, elle sait que le message finira par passer.

http://www.youphil.com/fr/article/01766-les-nouvelles-meres-de-la-place-de-mai?ypcli=ano


viernes, 26 de marzo de 2010

Anoche fueron agredidas, en la Provincia de Salta

Mujeres denuncian la venta de paco en barrio 26 de Abril

Viernes 26 de Marzo de 2010 Salta

Las "Madres contra el Paco", una vez más, fueron agredidas por defender la vida de sus hijos. En el barrio 26 de Marzo, 18 mujeres denunciaron anoche que la casa donde se habían reunido para analizar cómo acceder a proyectos de emergencia juvenil fue apedreada por un grupo de vendedores de droga. Como consecuencia, una de las madres, que está embarazada, sufrió golpes.

"En el barrio se venden drogas y, como lo denunciamos, sufrimos este tipo de agresiones", relató Norma Santillán a El Tribuno. Ella tiene un hijo adicto desde hace 5 años y afirmó que "lo que nosotras queremos es seguridad".

No sólo sucedió eso ayer en el barrio 26 de Abril. Pocas horas después de ser agredidas, otro grupo de vendedores de droga se juntó frente de la casa, donde estaban reunidas y uno de ellos quiso quitarse la vida. "Uno de los chicos empezó a cortarse con un vidrio y, recién entonces, llegó la policía. Se dice que este chico vende droga a cambio de tres pipas", aseguró.

Norma dijo que "lo que ellas buscan es una ayuda, porque esto es lo que nosotras vivimos todos los días". También, agregó que "yo no sé si mañana voy a estar en la lucha, porque a nosotras también nos amenazan. Esto no se trata de culpables, sino de buscar soluciones".

El Tribuno de Salta

http://www.eltribuno.info/salta/diario/hoy/salta/mujeres-denuncian-la-venta-de-paco-en-barrio-26-de-abril


Desde la Red hacemos responsable al Gobierno Provincial de Salta y al Gobierno Nacional, por lo que les pudiera pasar a nuestras compañeras.

miércoles, 24 de marzo de 2010

Campana - Buenos Aires - Reunión con Vecinos


Nos sentimos muy reconfortadas y esperanzadas, por la participación de las madres , familiares, amigos de Campana, y en especial por el apoyo y el compromiso manifiesto de Concejales de dicha Ciudad, quienes como corresponde, se ponen al hombro la Causa por la vida de los Hijos de la Argentina, y se disponen a trabajar codo a codo con la articulación entre Sociedad y Estado Municipal, desde la pluralidad y diversidad tal como lo requiere el problema del consumo de drogas, que nos aqueja a los Argentinos, comprendiendo de que es responsabilidad de todos.

Redacción, Madres xla Vida



Madres contra el paco realizaron una charla en el barrio Otamendi

Por iniciativa de concejales del Frente por Campana comenzaran a trabajar en materia preventiva.

En la tarde de ayer, se llevó a cabo una charla en la sociedad de fomento del Barrio Otamendi, de la que participaron integrantes del grupo Mujeres por la Vida, en lucha contra el Paco, una agrupación surgida formalmente hace ya algunos años en la villa Ciudad Oculta ante la falta de respuesta del Estado para combatir el consumo de pasta base de cocaína, droga barata con efectos graves y devastadores para la salud de quienes los consumen.

Las representantes del grupo brindaron su experiencia de vida frente a este flagelo a vecinos del barrio y concejales del Frente por Campana, quienes convocaron al evento.

"Esta articulación se llevó a cabo por la necesidad de un grupo de madres del barrio Otamendi, quienes deben enfrentar esta terrible situación, no contando con las herramientas necesarias para hacerlo. Desde el bloque de Frente por Campana, la Concejal Lic. Andrea Nicora decidió comenzar a trabajar junto a un grupo de madres de varios barrios de la Ciudad y tender redes con las Madres contra el Paco, a fin de organizar formas de trabajo que permitan aunar esfuerzos para lograr participación familiar y ser el espejo y ejemplo para nuestros jóvenes", aseguraron desde el partido de Carlos Cazador, quien participó también de la reunión, junto a los concejales Paola Cano, Karina Vera, Jorge Gozo y Mariano Moreno.

"Las madres de esta Asociación representadas por Berta y Blanca manifestaron en su dinámico discurso el convencimiento de que si bien los Estados Gobernantes deben hacerse cargo, también todos nosotros como sociedad debemos romper con el aislamiento, los prejuicios por creencia o ideologías para poder hablarnos y mirarnos a los ojos y reconstruir los lazos de confianza, recuperando el valor de la palabra e iniciar el camino de desnaturalización del consumo de paco, insistimos con el paco porque es una de las drogas más destructivas en corto plazo y difícil de abstenerse a consumirla sin una internación mediante", comentó Nicora luego de la reunión.

"Este es el principio del trabajo conjunto, queriendo lograr el compromiso tanto de las autoridades de la Ciudad como la sociedad toda, por el bien del futuro de nuestros jóvenes", concluyó la edil.

El grupo de Madres contra el Paco, lo componen más de 150 mujeres, y es liderado por una vecina de la Villa 15, María Rosa González. El consumo de pasta base de cocaína, de marihuana y drogas inhalantes por lo menos se triplicó en la ciudad de Buenos Aires y en el primer cordón del conurbano bonaerense desde 2005 hasta la actualidad.

El paco está compuesto casi en su totalidad por químicos o elementos adulterantes, lo cual refuerza el carácter adictivo y el efecto rápido, intenso y de corta duración de cada dosis. En poco tiempo, la droga deja secuelas neurológicas irreversibles por la inhabilitación permanente de los centros nerviosos, pérdida de reflejos, motricidad, inteligencia y hasta memoria.

La Auténtica Defensa, Edición del martes, 23/mar/2010

Dario zonal de la mañana – Campana, Buenos Aires, Argentina

http://www.laautenticadefensa.com.ar/noticias.php?sid=72309

”Madres del Paco” brindarán una charla en el barrio Otamendi

Esta tarde a las 15.30 se llevará a cabo una charla muy importante en el barrio Otamendi, en donde se anunció la presencia de integrantes del grupo Madres del Paco, también conocidas como Mujeres por la Vida, una agrupación surgida formalmente hace ya algunos años en la villa Ciudad Oculta ante la falta de respuesta del Estado para combatir el consumo de pasta base de cocaína, droga barata con efectos graves y devastadores para la salud de quienes los consumen.

"Ellas accedieron a venir para contar su experiencia a las mamás y las personas que quieran compartirla", aseguró la concejal Andrea Nicora, del Frente por Campana, quien fue quien se contactó con las representantes del grupo. "Esto surgió casi por casualidad, por el contacto que tuvimos con una madre que necesitaba ayuda para su hijo", explicó Nicora.

El grupo, de más de 150 mujeres, es liderado por una vecina de la Villa 15, María Rosa González. El consumo de pasta base de cocaína, de marihuana y drogas inhalantes por lo menos se triplicó en la ciudad de Buenos Aires y en el primer cordón del conurbano bonaerense desde 2005 hasta la actualidad. En especial, la frecuentan adolescentes de bajos recursos como droga de iniciación. El paco está compuesto casi en su totalidad porquímicos o elementos adulterantes, lo cual refuerza el carácter adictivo y el efecto rápido, intenso y de corta duración de cada dosis. En poco tiempo, la droga deja secuelas neurológicas irreversibles por la inhabilitación permanente de los centros nerviosos, pérdida de reflejos, motricidad, inteligencia y hasta memoria.

La charla se realizará en las instalaciones de la sociedad de fomento del barrio Otamendi, desde las 15.30.

La Auténtica Defensa, Edición del martes, 23/mar/2010

Dario zonal de la mañana – Campana, Buenos Aires, Argentina

http://www.laautenticadefensa.com.ar/noticias.php?sid=72309

viernes, 19 de marzo de 2010

Ronda, jueves 18 de marzo de 2010 Pareciera que la Vida en nuestro País no vale nada



“Buenos Aires, 19 de marzo (La Nación).- Lucas Rebolini Manso había escapado del Hospital Fernández antes de ser socorrido el 6 de febrero último. Según informaron fuentes del nosocomio a LA NACION, el hijo de los actores Antonio Grimau y Leonor Manso había ingresado en la entidad a las 0.45 de ese día en un estado de intoxicación por estupefacientes”


Éste párrafo describe fielmente la situación de vulnerabilidad en la que se encuentra un enfermo de adicción a las drogas, cuando enajenado por su estado de intoxicación por el consumo de estupefacientes, ingresa a la guardia de un hospital. Ahí nos encontramos claramente con la ausencia del Estado que no prevé la protección de la vida del ciudadano siendo ésta un derecho fundamental. Tenemos entendido que los hospitales no cuentan con un protocolo especial y un dispositivo con especialistas, referido al tratamiento y contención de los pacientes con estas características, por lo tanto los profesionales no tienen el aval de interferir en la decisión del paciente que por otro lado, no se encuentra en sus cabales poniendo en riesgo su vida y la de terceros.


Hoy el caso de Lucas, tomó estado público por tratarse de un hijo de famosos, pero lamentablemente, estas situaciones se repiten y mueren muchos niños, jóvenes y adultos que no son conocidos y además carecemos de estadísticas ciertas, dado que las defunciones rezan: paro cardiorrespiratorio o algún otro diagnóstico que no permite visualizar de que se trataba de un paciente adicto, generalmente el consumo no es de un solo tipo de droga sino que, cuando entran en el infierno terminan en el policonsumo.


Son vidas que se pierden, por la desidia, la naturalización del consumo, la falta de decisión de los gobiernos de dar respuestas concretas en la erradicación de las cocinas de cocaína, su residuo “el paco”, anfetaminas, psicofármacos etc y cuanta droga circula libremente en nuestro país. Por otro lado la falta de políticas públicas integrales para la salud que nos deja en total y absoluto abandono.


Seguramente Lucas y muchos Lucas ejercen los derechos a la tenencia para el consumo en sus privacidades, pero luego salen afuera a buscar ayuda y encuentran la muerte.

Acompañamos a la familia de Lucas en su profundo dolor.

Redacción: Madres por la Vida


Ronda, miércoles 17 de marzo de 2010 - San Justo La Matanza


Este miércoles hicimos la Ronda en la Plaza de San Justo La Matanza.


De acuerdo a lo conversado con el Secretario de Gobierno, no se pudo realizar la reunión prevista, porque el Intendente Fernando Espinoza, había convocado a una reunión a todos los Secretarios de las distintas áreas.


Pensamos que seguramente el tema “paco” y drogas en general; habrá sido uno de los puntos a tratar ya que la situación por la que atraviesan los vecinos, es crítica y cada ves son mas las víctimas del consumo y la violencia social.


Así es que pensamos que la próxima semana seremos recibidas, esta lucha no se debe resignar porque nos involucra a todos.


Seguiremos reclamando por la vida de nuestros Hijos, los Hijos de Argentina

Redacción: Madres por la Vida


martes, 16 de marzo de 2010

Salud y Desarrollo Social capacitan personal de guardias para trabajar en desintoxicación

BONAERENSES

15/03/2010

Salud y Desarrollo Social capacitan personal de guardias para trabajar en desintoxicación


Los ministros Alejandro Collia (Salud) y Baldomero Alvarez de Olivera (Desarrollo Social) firmaron un convenio mediante el cual especialistas en toxicología capacitan a los equipos de las guardias hospitalarias, para que funcionen como Unidades de Desintoxicación. “Trabajar de forma integral el complejo problema de las adicciones marca un salto de calidad tanto en la prevención como en el tratamiento de los afectados”, indicó Collia. Mientras que Alvarez destacó la importancia del convenio para que “las personas con algún tipo de adicción que ingresen por guardia puedan recibir la atención más adecuada en la intoxicación".

Especialistas en toxicología del ministerio de Salud comenzaron a capacitar a los equipos de las guardias hospitalarias para que funcionen como Unidades de Desintoxicación, capaces de articular la atención en la emergencia con los tratamientos posteriores, ya sea en los Centros de Atención a las Adicciones (CPA) o en las comunidades terapéuticas.

Con esa intención, los ministros de Salud y de Desarrollo Social de la Provincia de Buenos Aires, Alejandro Collia y Baldomero Alvarez de Olivera, firmaron esta mañana un convenio en el hospital “El Cruce” de Florencio Varela.

Para fin de año se prevé completar la formación de todos los trabajadores de las guardias del Conurbano y la Costa Atlántica, para continuar luego con el resto de las regiones sanitarias.

“Trabajar de forma integral el complejo problema de las adicciones marca un salto de calidad tanto en la prevención como en el tratamiento de los afectados”, señaló Collia, y agregó que “creemos que al sumar la mirada social que aporta el equipo de Alvarez a la mirada sanitaria de nuestros especialistas obtendremos resultados más satisfactorios. Alvarez ya demostró numerosos logros en su municipio Avellaneda, y ahora seguramente podremos trasladar esa enorme experiencia a la Provincia”.

El ministro Alvarez de Olivera, por su parte, destacó la importancia del convenio para que “las personas con algún tipo de adicción que ingresen por guardia puedan recibir la atención más adecuada en la intoxicación pero también para que cuenten con información útil luego del episodio agudo”.

En ese marco, y en función del traspaso de competencias en materia de adicciones que se efectuó en la Provincia el año pasado, ambos ministerios acordaron además, el pase a la órbita de Desarrollo Social de las Comunidades Terapéuticas para adictos ubicadas en el pabellón 1 del hospital Domingo Cabred de Open Door; la comunidad “La granja”, de Melchor Romero y la instalada en el predio del hospital “José Jorge” de Burzaco.

“Lo que ahora buscamos es articular el trabajo”, explicó el director de Salud Mental, Aníbal Areco. Y agregó que, por un lado, “las guardias hospitalarias estarán actualizadas en el correcto manejo de la intoxicación en su fase aguda y lo hará de un modo protocolizado, pero servirán, además, como puerta de ingreso a los tratamientos, tanto en los 184 CPA de la Provincia como en las comunidades terapéuticas”.

Los médicos y enfermeros de guardia brindarán información precisa a quienes sean asistidos por intoxicación adictiva, de modo tal que el afectado conozca cuál es el centro de tratamiento más cercano a su domicilio.

En relación a la modalidad de atención, aclaró que en los CPA los adictos efectúan tratamientos ambulatorios en consultorios externos. Mientras que en el caso de las comunidades los pacientes se internan, son asistidos por un equipo interdisciplinario y conviven con otras personas que atraviesan el mismo proceso.

Reducción del consumo
En agosto de 2009, el ministerio de Salud de la Provincia inició un relevamiento durante los fines de semana en las principales guardias hospitalarias del Conurbano para diagnosticar la cantidad de ingresos por intoxicaciones con alcohol y otras sustancias.

Al mismo tiempo, el gobierno de la Provincia reforzó los controles de alcoholemia y la prohibición de vender bebidas alcohólicas a menores. El primer fin de semana de sondeo, se registraron más de 270 ingresos de intoxicados por alcohol y otras sustancias psicoactivas. Al cabo de dos meses, el relevamiento dio como resultado 54 ingresos.

“Se logró reducir en un 80 por ciento el ingreso a las guardias hospitalarias por esta causa, al tiempo que se observó una disminución ostensible de intoxicaciones alcohólicas en chicos menores de 21 años”, señaló Sergio Alejandre, subsecretario de Coordinación y Atención de la Salud.

Adem
ás de los ministros Collia y Alvarez de Olivera, durante la firma del convenio estuvieron presentes el subsecretario de Atención a las Adicciones, Edgardo Binstock y el director del hospital Arnaldo Medina.

http://www.laciudadavellaneda.com.ar/nota.php?id=1313


Desde la Red de Madres por la Vida, en lucha contra el “paco” tenemos una gran expectativa en cuanto a las definiciones que plantean desde la provincia, de acuerdo a lo vertido en esta nota. “Salud y Desarrollo Social capacitan personal de guardias para trabajar en desintoxicación

Por ahora tenemos la percepción de que no fue en vano la propuesta de trabajar en forma articulada, Comunidad y Estado, en la búsqueda de dar respuestas ciertas a todo aquel que quiera acceder a un tratamiento de recuperación de su adicción ya sea mediante un tratamiento ambulatorio o internación si fuera necesaria de acuerdo al paciente. También se deberá trabajar con el grupo familiar a modo de fortalecer los vínculos.

Pensamos que, como vecinos tenemos que aunar esfuerzos para lograr espacios de participación familiar y ser el espejo para nuestros jóvenes, donde ellos puedan realizar distintas actividades: culturales, deportivas, recreativas, creativas y de formación en saberes y oficios con salida laboral.

Reconstruir la red social, es el mayor desafío y la mejor solución.

Claro está que para ello, las dirigencias, los referentes tienen que dar ejemplo de pluralidad, y saber trabajar en la diversidad con un profundo respeto al otro.

Con la Vida de los Hijos de la Argentina, NO SE JUEGA.

domingo, 14 de marzo de 2010

Ronda jueves 11 de marzo de 2010 - Plaza de mayo


Continuamos con las Rondas, aún sin respuestas del Gobierno Nacional, por lo visto la vida de nuestros hijos, los Hijos de la Argentina no les preocupa.


Cada día la situación de nuestros jóvenes y niños en consumo empeora y aumenta la población de adictos.


Las madres, padres, familiares y amigos, no nos quedamos solo en el reclamo, además de buscar soluciones desde los municipios, formamos una mesa de trabajo para debatir los temas fundamentales que deberían estar plasmados en una futura ley que se refiera a los tratamientos de las adicciones y en especial la adicción al “paco”


A todo aquel que se quiera sumar, puede acercarse los días jueves de 10hs a 11hs en Plaza de Mayo - CABA